21 Déc 5 résolutions pour plus de mobilités douces en 2018 !

S’il y a une ville à prendre pour exemple au sujet des nouvelles mobilités, c’est bien Rennes, la capitale bretonne !

Rennes fût la première ville française à se doter d’un VLS et c’était en 1998, il y a presque 20 ans. Puis elle garda longtemps son statut de plus petite ville française à profiter d’un métro semi-automatique.

Alors, prenons l’exemple de cette ville, pionnière en matière de nouvelles mobilités, pour définir les 5 bonnes résolutions que devraient prendre les collectivités pour 2018 !

Résolution n°1 : Intégrer et connecter toutes les mobilités

Alors que la nouvelle ligne B du métro rennais sera achevée en 2019, la métropole a renouvelé sa délégation de service public à Kéolis jusqu’en 2024. La société promet la prise en compte de toutes les mobilités dans ses applications numériques dédiées aux usagers.

On pourra, par exemple, y visualiser tous les itinéraires accessibles aux personnes à mobilité réduite grâce à Handimap. Mais aussi, consulter « l’ensemble des transports » possibles pour son itinéraire, « y compris le covoiturage », d’après Jean-Jacques Bernard, 4^ème vice-président de Rennes Métropole.

Il est donc à penser que les VLS seront également de la partie ! Chez Ecovelo, on pense que c’est une bonne première résolution à adopter dans toutes les agglomérations. A bon entendeur !

Résolution n°2 : Planifier de (vraies) pistes cyclables

La métropole rennaise assure anticiper et suivre les évolutions du plan de déplacement urbain. Avec sa future nouvelle ligne de métro, pour Rennes, ça sera moins de bus dans le centre et plus de bus en périphérie.

Ainsi, de vrais espaces nouvellement délaissés pourront être dédiés à des espaces aménagés généreusement pour les mobilités douces, dont le vélo.

Certes, toutes les villes n’ont pas de métro existant ou en projet. Mais, nous pensons qu’il est grand temps d’anticiper ce boom d’innovation en matière de mobilité. Il permettra bientôt de réduire l’espace de la voiture individuelle dans les centres urbains, et de laisser la place aux autres mobilités. Alors, quoi de plus persuasif, pour faire aimer le vélo en ville, que de rouler sur un agréable espace, sécurisé et verdoyant ?

Résolution n°3 : Oser expérimenter les mobilités innovantes

L’avenir de Rennes, en termes de mobilité innovante, semble réjouissant. Mais ces évolutions s’inscrivent dans un contexte particulier. En effet, la ville a signé avec l’Etat un pacte d’innovation en janvier 2017, sur le thème des « mobilités intelligentes ». Ce pacte est accompagné d’un financement important de la part de l’Etat. Il permettra de faire aboutir 10 projets autour de la mobilité et de la transition énergétique.

Une des idées serait de pouvoir s’informer sur la disponibilité en temps réel du stationnement. Ainsi, cela permettrait à l’usager d’éviter de tourner dans la ville pour chercher une place. Mais également de décider de prendre des transports alternatifs en toute connaissance de cause, comme le VLS.

L’innovation en matière de mobilités du futur, à Rennes, c’est aussi à travers un événement qui aura lieu en mars 2018 : InOut. Nous voulons « être les plus innovants sur les mobilités ! » indique Emmanuel Couet, le président de Rennes Métropole, organisatrice de l’événement. InOut, c’est une rencontre internationale entre les acteurs du numérique et ceux de la mobilité, ainsi que les usagers. Ensemble, ils testeront des solutions innovantes sur le territoire rennais.

Faire confiance aux nouvelles technologies, n’est-ce pas une bonne résolution pour 2018 ?

Résolution n°4 : Booster l’utilisation du vélo à assistance électrique

Il semblerait que le vélo fasse de plus en plus d’adeptes, à Rennes et ailleurs. Entre 2011 et 2015, les déplacements à vélo ont augmenté +10% par an.

D’après Laurent Senigout, directeur général de Kéolis Rennes, c’est en partie grâce à la « politique incitative de la Métropole », et notamment en ce qui concerne les VAE. De 350 à 1 000 en quelques mois, les VAE passeront à 1 800 avec la nouvelle délégation de service public ! Seul bémol, les VAE ne peuvent être loués qu’à l’année.

 Résolution n°5 : Faire appel à Ecovelo et son Titibike !

 

Les choses vont aller très vite en matière de mobilités innovantes. Et le maître-mot des collectivités en 2018 devra plus que jamais être : ANTICIPER !

Anticiper l’aménagement de vraies pistes cyclables. Anticiper les nettes avancées du numérique liées aux mobilités. Et aussi, anticiper le succès de plus en plus affiché des systèmes de vélos en libre-service, électriques ou non.

Le Titibike d’Ecovelo est agile, robuste, connecté et il fonctionne avec ou sans bornes, en version électrique ou classique. Mais surtout, il coûte 50% moins cher que les solutions habituelles car il nécessite moins de maintenance et aucun génie civil.

Bref, le Titibike a toutes les qualités requises pour répondre à cette nécessité d’anticipation qu’auront les collectivités en matière de mobilité urbaine en 2018 !

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